Le journaliste et militant écologiste Hugo Clément est, de toute évidence, un peu moins regardant : il a participé, le 13 avril dernier, à la grande soirée annuelle de Valeurs actuelles, durant laquelle, selon le compte-rendu qu’en a fait Le Monde, l’ancien Premier ministre «socialiste» (à guillemets) Manuel Valls, poursuivant sa dégringolade, a également pris la parole pour «s’inquiéte(r) du “risque civilisationnel“ devant le gratin de l’extrême droite».

Toujours selon Le Monde, Hugo Clément a quant à lui «décrit», devant ce parterre choisi, «l’apocalypse de la biodiversité, l’inanité de l’agriculture intensive et – pire – l’immigration massive que provoquera le réchauffement climatique». Cela a beaucoup plus à Jordan Bardella, président du Rassemblement national, qui lui a rendu ce bel hommage : «Je pense que si l’écologie politique veut mener son combat à bien pour alerter l’opinion, il faudrait peut-être moins de Sandrine Rousseau et un peu plus d’Hugo Clément.» (Applaudissements nourris dans la salle.)

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