Le 18 octobre, le siège de l'union locale de la CGT à Antibes a été recouvert de tags nazis, dont des croix gammées, dénonce l'union départementale des Alpes Maritimes. « La CGT ne se laissera jamais intimider par la haine, le racisme ou les menaces », a réagi le syndicat dans un communiqué.

Ces derniers temps, plusieurs locaux syndicaux ont été dégradés ou recouverts de tags fascistes ou nazis. En juin, ce fut le cas de ceux de Solidaires à Brest, recouverts d'autocollants hostiles à la gauche et de croix celtiques, puis à Lorient, où des inscriptions pétainistes ont été relevées en juillet. A Pau, toujours en juillet,

Le local de Solidaires Étudiants a été cambriolé par un néonazi, condamné à des travaux d'intérêt généraux. En mars, c'est la porte du local de Solidaires Montpellier qui a été fracturée, le jour même où le groupuscule néofasciste local Bloc Montpelliérain organisait une conférence avec d'autres groupes d'extrême droite.

Tags nazis et croix gammées à Antibes

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