Affaire Soulayman : Quand la police fabrique des fakenews

Adoum Souleyman, l'étudiant insulté par la Brav-M, a été placé en garde à vue ce week-end en marge d'une manifestation contre la réforme des retraites vendredi soir à Paris. Tout le week-end les syndicats de policiers se sont relayés pour le présenter comme un délinquant. Salissant au passage la personne symbole des violences de la Brav. Sauf... qu'il a été libéré dimanche soir au bout de 48 heures, en faisant l'objet d'un classement sans suite pour infraction insuffisamment caractérisée selon le parquet de Paris. Pire, il accuse les policiers d'avoir tendu un guet-apens. Que s'est il passé ?

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