
Arbitrairement détenue par la police pendant deux jours et une nuit à la mi-juin, notre consoeur de Blast entend obtenir réparation. Elle assigne l’Etat pour faute lourde, au nom de la protection des journalistes et d’une liberté de la presse toujours menacée.
 Crédits photo/illustration en haut de page : 
 Diane Lataste