Grève, occupation, manifestation… Pour obtenir leur régularisation, les travailleurs sans papiers des chantiers des Jeux Olympiques pointent la responsabilité des donneurs d’ordres, géants du BTP, qui « se lavent les mains » des pratiques de travail illégal de leurs sous-traitants et de leurs conditions de travail. Jeudi 1er décembre, une douzaine d’entre eux occupaient le chantier de l’Arena 2, au nord de Paris, dont la livraison ne cesse de prendre du retard.
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Morgane Sabouret