A 82 ans, David Cronenberg nous livre une superbe méditation à la fois ironique et poignante sur la finitude, le deuil, la technologie et l’effet de ce cocktail amer sur le réel. Sous des faux-airs de thriller, « Les linceuls » fait le constat d’un monde où la prolifération des images et des récits sont les symptômes les plus récents de l’angoisse devant la mort, cette énigme vieille comme l’humanité et toujours aussi insurmontable, malgré le « progrès ». (Attention spoilers…)
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Blast, le souffle de l’info