Les quartiers de lutte contre la criminalité organisée, dernier joujou du ministre démissionnaire de la Justice Gérald Darmanin, ne sont pas conspués par les seuls narcotrafiquants. ONG, avocats pénalistes et même directeurs de prisons et surveillants pointent les failles de ce que le gouvernement présente comme une révolution carcérale mais qui ne constitue qu’une vieille recette répressive ayant déjà montré son inefficacité. Enquête et témoignages.
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Morgane Sabouret / Margaux Simon