
Le parquet national anticriminalité organisée (Pnaco) devait être la grande nouveauté de la justice française. Annoncée tambour battant par Éric Dupond-Moretti, alors ministre de la Justice, puis concrétisé par son successeur Gérald Darmanin, il est censé entrer en scène le 5 janvier prochain. Sa promesse : sortir la France du « piège du narcotrafic ». Problème : avant même son premier jour de travail, le PNACO croule déjà sous les dossiers, cherche encore où s’installer et manque de bras. Autant dire que le chantier s’annonce mal.
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Margaux Simon