
Sauf surprise de dernière minute, d’après nos informations, la cour d’appel de Paris doit agréer, le 10 novembre, à la demande de mise en liberté de l’ancien chef de l’État. Cette décision ne présage pas de l’issue de son procès en appel. Le choix des magistrats ayant à juger le président et des deux procureurs chargés de requérir témoignent des craintes que suscitent l’ex locataire de l’Élysée et des pressions exercées par ses soutiens.
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 Margaux Simon