Répondant à une demande des groupes d’extrême-droite les plus radicaux et du Rassemblement national, Bruno Retailleau a lancé une procédure de dissolution de deux collectifs : les antifascistes de la Jeune garde et les opposants au génocide en cours à Gaza d’Urgence Palestine. Les accusations portées contre ces mouvements caricaturés comme étant des « milices violentes » ne sont pas avérées. Les motifs avancés par le Ministère de l’Intérieur apparaissent douteux et pour certains fallacieux. Un récit et un inventaire, aussi disponible en format vidéo.
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Morgane Sabouret