"Le Parti socialiste est bien sûr tout à fait fondé à dénoncer l’attaque dont sa délégation a été victime le 1er mai à Paris, et à s’inquiéter de ce qu’il appelle une « brutalisation du débat politique ». Mais il pourrait sans doute réfléchir aussi à ses nombreuses contributions à cette dégradation – et aux nombreuses raisons pour lesquelles il suscite depuis si longtemps un tel rejet au sein d’une si grande partie de la gauche." Nouvel épisode de Quelle époque formidable, par Sébastien Fontenelle.
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Morgane Sabouret / Margaux Simon