
Depuis que son parti a remporté haut la main les élections législatives le 26 octobre dernier, le président argentin Javier Milei est devenu la coqueluche d’une partie des droites françaises, et de quelques centristes. L’homme à la tronçonneuse se réclame pourtant d’une idéologie extrême, le libertarianisme, ou « anarcho-capitalisme », qui s’oppose au principe même de la démocratie.
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Blast, le souffle de l’info